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Le 22 octobre dernier, la Commission des titres d’ingénieur (CTI)(qui certifie les diplômes CESI), Ingénieurs et Scientifiques de France (IESF) et l’Ordre des ingénieurs du Québec (OIQ) ont signé, à distance, un avenant qui actualise l’Arrangement sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles (ARM) des ingénieurs, conclu en 2008 et qui élargit l’accès des diplômés français à la profession d’ingénieur au Québec.

L’Arrangement sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles

Cette actualisation, permet d’augmenter le nombre de formations françaises reconnues par l’OIQ, qui passeront de 400 à 562. Le parcours des candidats vers l’obtention du titre d’ingénieur sera également plus rapide.

En effet, l’entente modifie les conditions actuelles d’obtention d’un permis pour les candidats français en les alignant davantage sur le programme d’accès à la profession d’ingénieur qui est suivi par l’ensemble des diplômés du Québec.

Ce programme est basé sur une approche par compétences, tant techniques que professionnelles, avec un nouveau parcours composé d’un volet théorique, puis d’un volet pratique. La signature de cet avenant marque une étape importante dans l’évolution et la consolidation des échanges. Les trois signataires sont fiers de contribuer à la mobilité des ingénieurs entre les deux pays.